patrimoine local (en cours de création)
PATRIMOINE | ||
Cimetières militaires
Leurs vocation de mémoire collective nous permet de ne pas oublier les drames des différentes guerres passées. Blargies : Ce petit cimetière Britannique éloigné des lignes du front, doit sa présence à l'ancien camp de travail et dépot de materiel. Il abrite les corps de soldats du Commonwealth. (soldats britanniques, australiens, néo-zelandais, sud-africains, canadien). |
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Les églises |
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Les calvaires Monuments représentant une croix et commémorant la passion du christ. On voit apparaître aux VIIème et VIIIème siècle les premières croix monumentales sculptées dans la pierre. La grande majorité des calvaires fut construite entre le XVème et le XVIIème siècle. |
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Les monuments aux morts Principalement d’origines militaires, ils commémorent les sacrifices ou tragédies des différentes guerres. Les monuments funéraires Les tombes ou plaques commémorent des personnes, des choses remarquables ou des évenements. Thieuloy-Saint- Antoine : tombe d’un soldat anglais. |
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La lunetterie Songeons fut bien connue au XIXème pour la lunetterie. Ce sont Pingard et Deshayes qui introduisent cette activité industrielle en 1730. En 1902, on pouvait encore trouvé 4 fabricants lunetiers qui étaient Cozette, Noël, Madery et enfin la société des lunetiers qui était appelée la “Sauce” par les ouvriers de ces entreprises. On est quasiment certain que dans les sols songeonnais se trouvent des vestiges des anciennes lunettes. |
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Les miroirs à facettes La miroiterie en Picardie Verte date du XIXème siècle. Dans la commune de Campeaux par exemple, il existait quelques fabricants de verres pour créer des lunettes ou des miroirs. Parmi eux François Deshayes, Cassi ou encore Prévost qui à eux trois fabriquaient environ 350 douzaines de miroirs de toutes sortes par an. Le travail du miroitier ne se limitait pas au verre, il y avait également le cadre circulaire du miroir en merisier ou en poirier. Les miroirs à facettes étaient fabriqués jusqu’en 1850. Ces miroirs avaient entre 9 et 12 facettes. . |
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La commanderie des templiers Cette commanderie fut fondée en 1167 et n’a cessé de s’accroître au fil des années grâce à des donations de biens et de droits. La commanderie reste prospère jusqu’en 1312, date de la dissolution des Templiers par le Pape Clément V. Elle est ensuite prise par les hospitaliers de St Jean de Jérusalem. Durant les siècles suivants, les bâtiments ont été plusieurs fois détruits et reconstruits par les chevaliers de Malte. Puis, après la révolution de 1789, le domaine fut confisqué, divisé et vendu comme bien national pour ne laisser depuis 1830 que le bâtiment qui subsiste aujourd’hui. Enfin, la municipalité en fait l’acquisition en 1993 et l’aménage en gîtes ruraux et en salle de réunion. |
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Les girouettes Au moyen-âge, les girouettes fixes étaient des emblêmes de pouvoir pour le clergé et la noblesse. Leonard de Vinci, à la fin du XVème siècle, en fit un instrument de météorologie : la girouette mobile sur un axe permettait de connaître la direction du vent. Après la révolution, la girouette devient un signe social fonctionnel en permettant d'indiquer son métier et parfois elle est placée à des fins protectrices pour conjurer le sort. |
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PERSONNAGES CELEBRES | ||
Henri LE SIDANER à Gerberoy
Peintre impressionniste arrivé en Picardie durant l’hiver 1900-1901. Créé un jardin dont il peind les effets de lumière et décors de sa création. Il s'inspira de l’architecture des jardins italiens.En 1907, il participe également à la création d'un musée dans la grand salle de l’hôtel de ville. Roland GARROS à Hétomesnil Aviateur français célèbre par sa traversée de la méditerranée en 1913, et ses photos aériennes. Il fut décoré et reçut les insignes d’Officier de la Légion d’honneur à Hétomesnil pour avoir réussi a s’évader d’une prison allemande durant la 1ère Guerre mondial en 1918. Une rue d’Hétomesnil porte son nom. Philéas LEBESGUE à la Neuville-Vault Né à la Neuville-Vault en 1869. D’origine paysanne il s’instruit de façon spectaculaire. A 18 ans il publie ses premiers poèmes et à 20 ans son premier drame lyrique « Dieu et Démon ». Ferdinand BUISSON à Thieuloy-Saint-Antoine Né en 1932, pédagogue, philosophe et homme politique français, il fut fondateur et président de la ligue des droits de l’Homme et a obtenu en 1927 le prix Nobel de la paix. Il fut également Président de l’Association Nationale des Libres Penseurs qui était célèbre pour son combat pour l’école gratuite et laïc. Il a d’ailleurs laissé son nom à un collège de Grandvilliers. |
![]() Les jardins privés Henri Le Sidaner
Société des amis de Philéas Lebesgue Tél : 03 44 48 32 50 francois_beauvy@yahoo.fr
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